Si le lecteur veut risquer, avec moi, un pèlerinage vers les jours de ma jeunesse, et remonter la moitié du cours de ma vie, c’est-à-dire juste un quart de siècle, nous ferons halte ensemble au commencement de l’an de grâce 1827, et nous dirons aux générations qui datent de cette époque ce qu’était le Paris physique et moral des dernières années de la Restauration.